On peut massacrer des crocodiles pour des sacs à main mais pas en informer le public

Posté le par Cyril E

Lorsqu’une entreprise comme Hermès fait massacrer des crocodiles et des alligators ou des autruches pour faire des profits en vendant des sacs à main dits « de luxe », elle peut faire de la publicité pour son produit cruel sans qu’on lui demande de rendre des comptes. Mais quand une ONG tente d’informer le public sur la façon dont ces sacs sont produits, c’est tout de suite plus difficile.

peta hermès crocodile sac

Crocodiles tabassés et mutilés pour les sacs Hermès Birkin. Trois alligators sont tués pour fabriquer chaque sac Birkin. Stoppez la cruauté : optez pour une mode végane

Cette publicité n’aurait fait que rappeler aux personnes prêtes à dépenser jusqu’à 30 000 € pour un sac à main Birkin que Hermès finance des tueurs à gage chargés de charcuter des bébés crocodiles vivants, après qu’ils ont passé leur courte vie dans des fosses en béton puantes et surpeuplées. Elle a pourtant été censurée.

Enfermer et tuer des animaux pour prendre leur peau afin fabriquer des accessoires de mode semble sortir tout droit d’un autre âge. Les victimes de cette industrie sont des êtres sensibles et intelligents qui ne demandent qu’à vivre. Les crocodiles sont des animaux intelligents, capables d’utiliser des outils, de coopérer au sein d’un groupe et de protéger leurs petits. Les mère alligators prennent soin de leurs œufs puis de leurs petits jusqu’à l’âge de 3 ans.

Quant aux autruches, elles sont des oiseaux fascinants et intelligents. Le mâle et la femelle partagent la garde des œufs, alternativement la nuit et le jour, puis s’occupent de leurs petits, là aussi jusqu’à l’âge de 3 ans. L’industrie des peaux exotiques les prive de tout cela et leur vie n’est qu’une longue et pénible attente avant un abattage terrifiant et douloureux.

Pour ne pas donner raison à la censure, partagez au maximum nos révélations sur les peaux exotiques et optez toujours pour des vêtements et des accessoires sans matière d’origine animale.