Des Défenseurs Des Animaux Déguisés En Éléphants Disent À Cartier Qu’Il Est Temps De Renoncer À La Cruauté

Pour diffusion immédiate :
14 novembre 2006

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Alice Rallier : 08 72 84 35 11 et 06 61 85 94 02

Des membres de PETA enjoignent le célèbre fabricant de montres à revenir sur son sponsoring de matchs de polo à dos d’éléphant

Paris –  Des membres de People for the Ethical Treatment of Animals (PETA) Europe, enchaînés et portant des uniformes de bagnards, des masques d’éléphants et des pancartes disant “Pas de Cartier pour la torture des éléphants” demandent à la compagnie d’annuler son sponsoring des matchs de polo à dos d’éléphant devant avoir lieu ce samedi à Jaïpur, en Inde. Cette manifestation fait suite à une réunion entre PETA et Cartier au cours de laquelle des représentants de PETA ont montré une vidéo, tournée clandestinement, révélant le traitement inhumain réservé aux éléphants en Inde, le même type de traitement étant infligé aux éléphants qui seront utilisés pour les matchs de polo.

Date : jeudi 16 novembre
Heure : 14h30
Lieu : 13 rue de la paix, Paris 2

PETA Europe rappelle que les éléphants sont des animaux sensibles et très intelligents. Pour les forcer à réaliser des tours perturbants et à obéir à des ordres contre-nature, les dresseurs utilisent des méthodes extrêmement cruelles, basées sur la souffrance et la peur. Beaucoup de ces dresseurs frappent les éléphants avec des crochets et les gardent enchaînés pendant de longues périodes. Une récente investigation, menée clandestinement par PETA Inde, a révélé que les éléphants passaient des jours entiers attachés au soleil, sans eau, dans leurs propres urines et excréments, ou étaient continuellement exhibés comme attractions touristiques dans les rues, frappés à coups d’ankus ou de bâton.

Quasiment tous les éléphants actuellement captifs ont été capturés dans la nature. Enlevés à leurs habitats naturels et à leurs familles, ces éléphants prisonniers souffrent de douleurs chroniques, de carences sociales et émotionnelles, et de morts prématurées. Ils sont privés de leurs besoins les plus basiques, tels l’interaction naturelle avec leurs congénères et l’exercice dans un milieu adapté.

“Cartier devrait se contenter de vendre des montres et des bijoux et laisser les éléphants tranquilles, déclare Alice Rallier, membre de PETA. La place des éléphants est dans la savane, et pas sur des terrains de polo où on les force, sous peine de punition, à obéir à des ordres ineptes au nom de la promotion des produits Cartier”.

Pour plus d’informations, rendez-vous sur PETAFrance.com.