La Chanteuse De Garbage Fait Les Poubelles De L’Industrie De La Fourrure

Pour diffusion immédiate :
4 avril 2007

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Shirley Manson exhibe « le reste d’un manteau de fourrure » sur une nouvelle affiche-choc de PETA.

Écosse. – Vêtue d’une magnifique robe du soir griffée Stella McCartney, la rockeuse sexy de Garbage, Shirley Manson, a littéralement le look qui tue sur la nouvelle affiche de People for the ethical treatment of animals (PETA) Europe. L’accessoire choisi par la chanteuse, un cadavre de renard dépecé, réponse sans concession au slogan « Voici le reste de votre manteau de fourrure » figurant sur l’affiche, est en effet des plus trash. L’objectif est de rappeler aux consommateurs que chaque manteau, accessoire ou garniture de fourrure provient d’êtres vivants tués à cet effet. Des centaines d’exemplaires de l’affiche ont été diffusées dans Édimbourg, capitale de l’Écosse et ville natale de Shirley Manson.

Immortalisée à Los Angeles par le grand photographe Frank W. Ockenfels, Shirley Manson nous oblige à regarder en face la dure réalité de la fourrure, au-delà des luxueuses publicités et des paillettes des défilés de mode. La chanteuse, qui déclare « l’éthique envers des animaux est une valeur à laquelle je crois », attribue sa prise de conscience à ses admirateurs. « Beaucoup de mes fans, très impliqués dans la défense animale, me demandaient souvent, à la vue de la fausse fourrure que je portais “c’est de la vraie ?” l’air choqué… Et je leur répondais toujours “non, cool, c’est de la fausse, pas de souci”. Mais leurs questions ont fini par me faire réellement prendre conscience du problème, et je leur en suis très reconnaissante. » La chanteuse écossaise, qui réside désormais à Los Angeles, enregistre actuellement son premier album solo.

Dans les élevages d’animaux à fourrure d’Europe et d’Amérique du Nord, les animaux passent toute leur vie dans de petites cages souillées, où la folie est la seule porte de sortie avant la mort, par empoisonnement, asphyxie, électrocution ou rupture de la nuque. Une investigation clandestine a par ailleurs montré qu’en Chine, devenue le premier pays exportateur de fourrure mondial, les chiens et les chats tués pour leur fourrure étaient battus, pendus, étranglés à l’aide de collets métalliques ou saignés, la fourrure étant ensuite délibérément étiquetée de façon trompeuse comme provenant d’autres espèces.

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