Une Biarrote Se Dénude À Barcelone Pour Protester Contre La Fourrure

Pour diffusion immédiate :
22 janvier 2007

Contact :
Noémie Ventura : + 44 79 27 11 08 70
Nadège Loucheux : (contact presse France) : 06 65 20 94 79

Plus de 120 membres de PETA et d’AnimaNaturalis se mettent à nu, rappelant le nombre d’animaux qu’il faut tuer pour un seul manteau de chinchilla.

Barcelone, Espagne. – Hier, Noémie Ventura, Biarrote de 28 ans, s’est déshabillée en compagnie de 120 autres militants pour rappeler que la confection d’un manteau de chinchilla nécessite la mort de plus de 120 de ces animaux. Les militants se sont allongés par terre comme s’ils étaient morts, tous gisant devant une banderole disant : « Combien de vies abolies pour un simple manteau ? » Ce « tragique » sit-in était organisé par People for the ethical treatment of animals (PETA) Europe et AnimaNaturalis.

NoémieVentura se tient à votre disposition pour toute interview. Une photo d’elle à la manifestation de Barcelone est disponible.

Noémie Ventura est journaliste professionnelle et photographe. Surfeuse à ses heures, elle s’est également toujours tenue du côté des victimes, sans distinction d’espèce. En complément de ses efforts contre la sanglante industrie de la fourrure des mains de laquelle elle essaie d’arracher les animaux, elle se rend aussi régulièrement en Inde pour travailler dans une association d’aide aux réfugiés tibétains.

Pourquoi se battre contre la fourrure ? Parce que les animaux piégés dans la nature pour cette industrie souffrent souvent pendant des jours et des jours avant d’être achevés, par coups ou étouffement. Dans cet intervalle, beaucoup de mères, affolées de ne pouvoir retourner auprès de leurs petits, se seront arraché la patte prisonnière pour s’échapper. Quant aux animaux provenant d’élevages spécialisés, ils vivent confinés dans de minuscules cages métalliques crasseuses, exposés à des conditions climatiques extrêmes, souffrant de blessures physiques et psychologiques. Leur mise à mort, au cours de laquelle ils hurlent et se débattent de douleur, se fait par empoisonnement, gazage, électrocution ou rupture de la nuque.

« C’est avec joie que je montre ma peau si cela peut aider les animaux à garder la leur, déclare Noémie. Avec tant de matières belles et confortables disponibles sur le marché, il n’y a absolument aucune excuse à se vêtir de fourrure. »

Des images de mise à mort d’animaux à fourrure sont disponibles.

Pour plus d’information, rendez-vous sur PETAFrance.com.