Fanny Maurer pose nue contre les peaux animales

Posté le par Dan H

Fanny Maurer, connue pour les superbes tatouages qui recouvrent son corps, s’engage aux côtés de PETA pour lutter contre la mode cruelle qui utilise des peaux animales à travers ce slogan « Je pique ma peau, pas celle des animaux ».

Chaque année des millions d’animaux sont massacrés pour leur peau ou leurs poils, après avoir subi une vie de souffrances. La fourrure, le cuir, la laine et l’angora sont autant d’industries qui utilisent les animaux à des fins commerciales sans se soucier de leur bien-être. La majorité de ces animaux sont emprisonnés dans de sordides élevages, privés de tout ce qui leur est naturel et important.

Les lapins, renards, visons et autres animaux destinés à la fourrure sont enfermés dans des cages métalliques et étroites jusqu’à ce que l’on mette un terme à leur courte vie en les électrocutant par voie anale ou vaginale, en les gazant ou en les tabassant à mort. Quant aux animaux qui ont eu la chance de naître en liberté, ils sont cruellement piégés par des trappeurs qui utilisent des pièges à mâchoires en acier pourtant tellement barbares qu’ils ont été interdits dans plus de 80 pays.

Des enquêtes menées en Europe dans des pays producteurs de fourrure qui sont éligibles à la certification « Origin Assured » censées garantir un traitement respectueux des animaux, ont démontré que les animaux d’élevage destinés à la mode souffrent de l’absence de soins vétérinaires, de déshydratation et de malnutrition. Nombreux sont ceux qui deviennent fous à cause de l’enfermement permanent, certains arrivant même à l’automutilation et au cannibalisme.

La plupart du cuir vendu dans le monde vient de pays comme le Bangladesh ou la Chine, où il n’existe pratiquement aucune loi pour protéger les animaux. La plupart des moutons exploités pour la laine sont fréquemment mutilés pour éviter que des parasites ne viennent abîmer la laine. Pour l’angora, qui provient majoritairement de Chine, les travailleurs ligotent les lapins qu’ils étendent sur des planches et arrachent à pleines poignées les poils de leurs corps fragiles, ou les tondent violemment.

Il est temps que l’industrie de la mode accepte qu’il n’y a pas d’avenir à tourmenter les animaux pour leur peau et trouve un moyen humain de gagner de l’argent.

Utilisez votre voix pour aider à mettre fin à cette industrie contraire à l’éthique. Prenez part à nos campagnes, et achetez de la mode éthique, sans souffrance animale :