Kidiliz dit non à la fourrure animale
Après avoir été contacté par PETA, le groupe Kidiliz a confirmé son engagement à ne pas utiliser de fourrure animale. Un responsable du géant de la mode pour enfant – qui détient notamment les marques Chipie, Catimini et Lili Gaufrette – a déclaré auprès de l’association que le groupe « proscrit absolument l’utilisation de fourrure animale ».
C’est une excellente nouvelle, non seulement pour les animaux confinés, maltraités puis abattus de façon terrifiante et barbare dans les élevages producteurs de fourrure, mais aussi pour les enfants, pour lesquels le port de fourrure animale peut entraîner de graves risques pour leur santé. Cet engagement louable montre qu’agir pour le bien-être animal est aujourd’hui un jeu d’enfant.
Des enquêtes diffusées par PETA ont révélé que les animaux exploités pour leur fourrure passent la totalité de leur courte vie confinés dans des cages exigües et insalubres, et sont ensuite tués de manières barbares, souvent par électrocution ou gazage.
Par ailleurs, le port de fourrure peut se révéler dangereux pour la santé, en particulier pour les enfants. Une étude du Bremer Umweltinstitut a révélé que la fourrure animale contient en quantités importantes des substances toxiques potentiellement cancérogènes, telles que le formaldéhyde, qui provoque des réactions allergiques et qui est considéré comme un carcinogène, ainsi que les éthoxylates, qui peuvent nuire à la production d’hormones et aux organes reproducteurs.
Vers la fin de la fourrure
Avec la quantité de textiles innovants disponibles aujourd’hui et qui n’impliquent pas la torture d’animaux, il est simple de passer à des matières sans cruauté. Rejoignez notre appel au gouvernement lui demandant d’interdire la production de fourrure animale en France, selon le souhait de 84% de la population française :