Lapins battus avec des tuyaux, chinchillas électrocutés – aidez à mettre fin à cette cruauté !

Pendant des décennies, PETA et ses affiliées internationales ont dénoncé l’horreur de la cruauté envers les animaux dans les élevages pour la fourrure du monde entier. Aujourd’hui, un nouveau regard dans les élevages d’animaux à fourrure en Russie révèle que les animaux continuent de souffrir terriblement.

La vidéo tournée dans cinq élevages par un témoin de PETA Asie révèle des travailleurs frappant des lapins avec un tuyau en métal et leur coupant la tête alors qu’ils étaient encore conscients, électrocutant des chinchillas et leur brisant le cou, et soumettant les animaux à d’autres horreurs. Un travailleur d’un établissement a déclaré que l’élevage vend des peaux à Kopenhagen Fur, qui se décrit comme la plus grande maison de vente aux enchères de fourrures au monde. Une autre installation étudiée par PETA Asie fournit des fourrures à la maison de vente aux enchères Saga Furs. Pendant des décennies, PETA et ses affiliées ont dénoncé la cruauté dans les élevages d’animaux pour la fourrure partout dans le monde, et ce dernier exposé montre que rien n’a changé.

La nouvelle vidéo expose les établissements russes où les animaux sont élevés et abattus pour leur fourrure. L’une de ces installations massives comportait 700 cages qui emprisonnaient 2 000 animaux dans un seul hangar. La cruauté généralisée documentée par le témoin est un véritable cauchemar, mais pour les animaux eux-mêmes, c’est une réalité terrifiante.

Des travailleurs frappent et décapitent des lapins alors qu’ils sont encore en vie

Dans un établissement, vous pouvez voir un ouvrier arracher des lapins d’une cage par leurs oreilles sensibles avant de les frapper à plusieurs reprises sur la tête avec un tuyau en métal dans une tentative rudimentaire de les étourdir. Il les suspend ensuite à l’envers par les pattes et leur coupe la tête avec un couteau, même si certains sont encore vivants, le tout à la vue d’autres lapins effrayés. Au moins une lapine était tellement terrifiée qu’elle a perdu le contrôle de sa vessie.

Un chinchilla hurle à l’agonie pendant qu’il est électrocuté

Dans un autre établissement, les chinchillas étaient mis en cage à la vue de ceux qui étaient électrocutés. L’un d’eux a hurlé et a lutté durant plus d’une minute pendant une électrocution ratée. Selon un ouvrier, les pinces avaient été mal placées, l’animal n’a donc pas été étourdi correctement, ce qui a prolongé le supplice. Par la suite, un ouvrier a rudement brisé le cou du chinchilla encore vivant avec ses doigts.

Les travailleurs n’ont pas pris la peine de vérifier que les animaux étaient inconscients avant de leur couper la tête ou de leur briser le cou dans ces établissements.

Des visons, des zibelines et d’autres animaux sont enfermés et perdent la raison

Un témoin a observé que les animaux utilisés pour l’élevage et certains animaux en attente d’abattage étaient confinés dans d’étroites cages en treillis métallique, couvertes de déjections et de poils. Dans une installation, les animaux en cage étaient laissés à l’extérieur, exposés aux éléments, tandis que dans une autre, les chinchillas étaient gardés dans l’obscurité complète dans une pièce puante et non ventilée lorsque les travailleurs n’étaient pas présents. Zibelines et visons se déplaçaient frénétiquement d’un côté à l’autre, faisant preuve d’un comportement stéréotypé – un signe de folie induite par la captivité.

Un renard terrifié, naturellement timide et solitaire, était accroupi au fond d’une cage qui n’offrait aucun endroit pour se cacher, et dans une autre installation, un chinchilla semblait aveugle mais était encore obligé de se reproduire. Un travailleur a dit que l’animal avait subi une blessure aux yeux, mais que ce n’était pas important.

Aidez les animaux qui souffrent dans l’industrie de la fourrure

Selon un travailleur, au moins l’une des installations est un fournisseur de Kopenhagen Fur, qui se décrit comme la plus grande maison de vente aux enchères de fourrures au monde. Et un autre élevage fournit des fourrures à la maison de vente aux enchères mondiale Saga Furs. Bien sûr, quel que soit le pays d’origine – qu’il s’agisse de la Russie, du Canada, de la Chine, de la Finlande, de la France, des États-Unis ou d’ailleurs – toute fourrure implique une cruauté, une peur, une douleur, une souffrance et une mort terribles. Aidez les animaux comme ceux que vous avez vus dans cet exposé en n’achetant jamais de fourrure. Et aussi, montrez cette vidéo à d’autres.

Faites plus : des élevages producteurs de fourrure subsistent en France, alors même que 91 % de la population française sont contre le commerce de la fourrure. Rejoignez notre appel au gouvernement pour une interdiction de la production de fourrure animale pour mettre fin à cette exploitation cruelle et archaïque en France :