Cassandra Foret pose contre la sanglante cruauté de Canada Goose

Le 3 mars 2020

CASSANDRA FORET POSE CONTRE LA SANGLANTE CRUAUTÉ DE CANADA GOOSE

La célèbre instagrameuse continue de faire campagne aux côtés de PETA pour appeler la marque à cesser d’utiliser la fourrure de coyotes torturés

Paris –Prise au piège, la jambe « ensanglantée », Cassandra Foret pose dans une toute nouvelle affiche de PETAdénonçant l’utilisation par la marque Canada Goose de fourrure de coyote. Avec plus d’1 million de followers sur Instagram, la chanteuse, star des réseaux et petite sœur de Jade Lagardère utilise sa notoriété pour militer pour la cause animale.

Dans cette nouvelle campagne, elle pose la cheville en « sang » et prise dans un piège en acier – comme ceux qui se referment sur les membres de coyotes terrifiés et à l’agonie, les broyant parfois jusqu’à l’os – et rappelle : « La mode Canada Goose fait des victimes. N’ACHETEZ PAS LEUR SOUFFRANCE. »

« La fourrure de ces coyotes leur appartient, et n’a rien à faire sur un manteau », déclare Cassandra Foret, actuellement étudiante en mode. « Il n’y a rien de glamour à porter la peau d’animaux morts. Après avoir appris à quel point ils souffrent, j’ai voulu m’engager, et j’invite les gens à me rejoindre pour dire non à l’immense souffrance engendrée par Canada Goose. »

L’affiche est la deuxième collaboration de la jeune star avec PETA. Lors d’une mise en scène publique à Paris en 2017, Cassandra Foret gisait étendue sur un panneau circulaire estampillé « Cruauté Canada Goose » et entourée de militants tenant des pancartes et distribuant des tracts pour informer les passants sur la manière dont les coyotes sont violemment tués pour leurs peaux.

PETA – dont la devise dit notamment que « les animaux ne nous appartiennent pas et [que] nous n’avons pas à les utiliser pour nos vêtements » – explique que la fourrure utilisée pour les garnitures des vestes Canada Goose provient de coyotes sauvages piégés, qui agonisent souvent des jours durant, et peuvent souffrir d’hémorragies, de déshydratation, de faim, de gelure, de gangrène et d’attaques de prédateurs. On sait que parfois, des mères désespérées de s’enfuir pour aller retrouver leurs bébés affamés vont jusqu’à se ronger leurs propres membres. Les animaux qui sont encore en vie au retour du trappeur sont abattus au fusil, étranglés, piétinés ou battus à mort.

Pour plus d’informations, rendez-vous sur PETAFrance.com.

 

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