Des Victimes Dénudées De La Grippe Aviaire Préviennent Les Lyonnais

Pour diffusion immédiate :
27 mars 2006

Contacts :
Will Wright (porte-parole anglophone) : +44 207 357 9229 ext 232

Lyon – Mercredi, des membres de PETA, People for the ethical treatment of animals (« Personnes pour un traitement éthique des animaux »), s’allongeront nus dans des cercueils décorés de fleurs pour rappeler aux consommateurs que manger de la volaille peut provoquer une pandémie de grippe aviaire. Des militants porteront des pancartes disant : « La grippe aviaire tue, devenez végétarien. »


         Date :   Mercredi 29 mars
         Heure : 14 h 00 précises
         Lieu :    Place de la République


La grippe aviaire, ou grippe du poulet, pourrait constituer à ce jour la pire menace sanitaire pour l’humanité de toute l’histoire. Les experts estiment que la maladie pourrait tuer un humain sur huit et provoquer l’effondrement de l’économie mondiale. De nouvelles souches du virus sont détectées tous les jours. La grippe aviaire peut s’attraper en consommant de la viande ou des œufs insuffisamment cuits ou toute autre nourriture ayant été en contact avec de la viande ou des œufs infectés, par exemple sur la même planche à découper ou par le contact de coquilles d’œufs contaminées.

« La grippe aviaire est la conséquence directe d’une industrie aussi malsaine que cruelle, déclare Jodi Ruckley, chargée de campagne de PETA. Entre les insidieuses maladies qui progressent silencieusement dans les élevages industriels mal tenus et le lien de toute façon bien connu entre consommation de viande et maladies cardio-vasculaires, la plus sage des décisions en ce qui concerne la viande de poulet est de l’éviter comme la peste. »

Un élevage industriel de poulets peut contenir des milliers d’oiseaux constamment maintenus dans leurs propres déjections, laissant le champ libre à la propagation ultra-rapide de maladies. Les poules de batterie sont confinées dans des cages entassées les unes sur les autres, leurs excréments tombant sur celles des cages d’en dessous. Et le problème ne se limite pas aux poules : les cochons et les vaches laitières, vivant dans des conditions de promiscuité similaires, peuvent attraper et propager des maladies de la même façon.

Pour plus d’informations, rendez-vous sur PETAFrance.com.