PETA révèle de nouvelles images choquantes de l’intérieur d’un hangar de tonte australien

PETA révèle de nouvelles images choquantes de l’intérieur d’un hangar de tonte australien

Vidéo d’un témoin : la plaie sanguinolente d’une brebis recousue sans antidouleur

Birregurra, Australie – Une nouvelle vidéo épouvantable filmée à l’intérieur d’un hangar de tonte australien a été diffusée par PETA Australie. L’association rend publique des images d’un témoin oculaire montrant les mauvais traitements infligés à une brebis plus tôt cette année. La vidéo montre la brebis – qui saigne abondamment à cause d’une blessure infligée pendant la tonte – maintenue entre les genoux d’un tondeur, qui recoud grossièrement sa blessure béante sans lui administrer le moindre analgésique. L’ouvrier éponge ensuite le sang de l’animal avec sa propre toison.

« Ce n’est pas la première fois que la cruauté routinière envers les moutons est documentée au sein de l’industrie de la laine, et ce ne sera pas la dernière », déclare Mimi Bekhechi, vice-présidente de PETA. « Si vous voulez vraiment connaître la vérité derrière ce commerce abusif, visitez le site PETAFrance.com – et lors de vos achats, laissez les pulls, bonnets et gants en laine dans les rayons. »

Des séquences vidéo recueillies au cours d’enquêtes dans plus de 100 entreprises de l’industrie lainière à travers le monde ont révélé une cruauté systémique envers les moutons au cours des années. Des témoins oculaires ont vu des tondeurs frapper et projeter des moutons, les battre avec des tondeuses et se tenir sur leur cou. Dans un hangar de tonte du Victoria, un tondeur a coupé le prolapsus vaginal d’une brebis, qui était probablement en train d’accoucher, avant d’utiliser sa propre laine pour essuyer le sang sur le sol.

PETA, dont la devise dit notamment que « les animaux ne nous appartiennent pas et [que] nous n’avons pas à les utiliser pour nos vêtements », note que la laine a bénéficié d’un blanchiment éthique et écologique, alors que le Made-By Environmental Benchmark for Fibres la classe dans la « classe E », la pire catégorie possible, en raison des émissions de gaz à effet de serre, de la toxicité pour les humains, de l’écotoxicité et de l’utilisation de l’énergie, de l’eau et des terres nécessaires à sa production.

Pour plus d’informations, rendez-vous sur PETAFrance.com ou suivez les dernières actualités de l’association sur Facebook, Twitter ou Instagram.

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