Rafferty Law suit l’exemple de ses parents en s’associant à PETA pour une campagne anti-fourrure

Le 14 octobre 2019

RAFFERTY LAW SUIT L’EXEMPLE DE SES PARENTS EN S’ASSOCIANT À PETA POUR UNE CAMPAGNE ANTI-FOURRURE

Le mannequin, qui est végétarien, rejoint la campagne de l’association s’opposant au massacre de coyotes pour les parkas garnies de fourrure de la marque Canada Goose

Paris – La cheville prise dans un piège en acier recouvert de « sang », Rafferty Law, fils de Jude Law et de Sadie Frost, tous deux sympathisants de l’association, figure dans la nouvelle campagne de PETA proclamant : « Canada Goose : Quand la mode devient vraiment moche. Ne payez pas pour la cruauté de Canada Goose. »

Photo : Trevor Leighton

« J’ai été dégoûté d’apprendre que les manteaux de Canada Goose étaient garnis de fourrure de coyote », s’exclame Rafferty Law. « Il y a tellement de choses que nous pouvons acheter et porter qui n’impliquent pas de souffrance animale. Il n’y a aucune excuse pour tuer des animaux sauvages pour la mode. »

Les coyotes trappés dans la nature pour la fourrure des parkas Canada Goose peuvent légalement souffrir d’une jambe cassée, de lacérations ou d’hémorragies pendant près de 72 heures avant le retour des trappeurs – et cette pratique est conforme aux normes de l’entreprise en matière de piégeage. PETA souligne que des mères coyotes prises au piège et désespérées de retrouver leurs petits affamés, ont essayé de se ronger les membres pour s’échapper, et que de nombreux animaux piégés succombent aux conditions météorologiques, à une hémorragie, une infection ou une attaque de prédateurs avant que les trappeurs ne reviennent pour les tuer. Les canards et les oies utilisés pour le duvet sont transportés vers l’abattoir, faisant souvent face à des conditions climatiques extrêmes. Ils y sont égorgés et submergés dans des bassins de déplumage pour que leur duvet serve à remplir les manteaux et vestes de la marque.

Rafferty Law a également pris la pose dans un t-shirt de PETA États-Unis portant le slogan « #CanadaGooseKills » (#CanadaGooseTue), dont les ventes permettent de lever des fonds essentiels pour aider l’association à poursuivre sa lutte contre le commerce de la fourrure et d’autres industries cruelles.

Photo : Trevor Leighton

Le jeune mannequin appartient à une famille de fiers militants anti-fourrure : sa mère, Sadie Frost, a figuré dans une campagne demandant à ses sympathisants de tourner le dos à la fourrure – faisant partie de la série d’affiches emblématiques de PETA et de ses affiliées internationales : « Plutôt à poil qu’en fourrure ». Jude Law, père de Rafferty, a lui envoyé une lettre au nom de PETA Royaume-Uni appelant l’Organisation mondiale du commerce à maintenir l’interdiction imposée par l’UE aux importations de fourrure de phoque – ce qu’elle a fait.

La devise de PETA dit notamment : « Les animaux ne nous appartiennent pas et nous n’avons pas à les utiliser pour nos vêtements », et l’association s’oppose au spécisme, idéologie qui postule une prétendue supériorité de l’humain sur les autres animaux, justifiant de s’en servir comme s’ils n’étaient que des marchandises plutôt que les êtres sensibles qu’ils sont.

Pour plus d’informations, rendez-vous sur PETAFrance.com.

 

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