Belle nouvelle ! Valentino tourne le dos à la fourrure

Posté le par Anissa P

Après plus d’une décennie de campagnes menées par PETA et nos affiliées internationales pour faire pression sur la marque, dont des manifestations et protestations sur les podiums lors de défilés, Valentino a annoncé tourner le dos la fourrure !

Est-ce grâce à plus d’une décennie d’actions pilotées par PETA et nos affiliées ? C’était peut-être les nombreuses lettres envoyées à la marque l’informant de la souffrance liée à la fourrure et l’incitant à s’en défaire. Il se peut que les transmissions de COVID-19 dans les élevages de visons aient rappelé le risque sanitaire posé par la production de fourrure. Ou peut-être était-ce votre militantisme lorsque vous vous êtes courageusement exprimés en faveur des animaux. Il est fort probable que ce soit toutes ces raisons qui ont réussi à convaincre Valentino de s’engager enfin à ne plus vendre de fourrure.

Le vent tourne. Même la maison de couture qui cousait de la fourrure de vison sur des baskets a décidé d’évoluer avec le temps. À ce rythme, plus aucun créateur ne vendra de fourrure d’ici l’année prochaine – et rien d’étonnant à cela, puisqu’aucun consommateur empli de compassion n’en achètera.

La fourrure – une cruauté sans nom

Comme le mettent en lumière les enquêtes diffusées par PETA, la plupart des animaux tués pour leur fourrure passent leur vie entière à l’étroit dans des cages dépourvues de tout aménagement, où ils font frénétiquement les cent pas, rongent les barreaux de la cage, et s’automutilent même, de frustration et de détresse.

Ils sont souvent tués par gazage, électrocution, noyade ou empoisonnement, et certains sont même écorchés vifs.

Des centaines d’autres grands créateurs et marques – dont Chanel, Jean Paul Gaultier, Armani, Prada, Gucci, Michael Kors, Maison Margiela et Versace – ont déjà renoncé à la fourrure.

Il faut continuer à agir !

Le vent tourne, mais certaines marques manquent encore à l’appel. Saint Laurent et Brioni font partie des entreprises qui s’obstinent à continuer d’utiliser de la fourrure animale, tout en sachant à quelle point sa production est cruelle, néfaste à l’environnement et dangereuse pour la santé publique. Rejoignez-nous en les appelant à y renoncer :