Découvrez pourquoi Gwyneth Paltrow ne mange plus de poulpes

Gwyneth Paltrow est une femme aux multiples visages. Chanteuse nominée au Grammies et actrice récompensée aux Oscars du cinéma, elle est aussi créatrice du site goop.com qui l’a mis en position d’influencer le mode de vie des gens.

Si elle fait l’actualité en ce moment, c’est non seulement pour son dernier projet de film, pour ses conseils en hygiène de vie et ce qu’elle mange, mais aussi pour ceux qu’elle ne mange pas. Lors d’une conversation en ligne avec ses collègues de Goop, elle leur aurait déclaré que les poulpes sont « trop intelligents » pour qu’elle ne les mange.

« Les poulpes sont trop intelligents pour servir de nourriture. Ils ont plus de neurones que nous dans le cerveau. J’ai dû arrêter de les manger parce que cela me faisait flipper. Ils peuvent s’échapper de SeaWorld et tout en dévissant les canalisations et rejoindre la mer. »

Et elle a raison : l’intelligence de ces animaux, souvent considérés comme les « primates des mers » est étonnante.

Ce sont des pros de l’évasion

Il existe d’innombrables histoires de poulpes qui parviennent à s’échapper. Ils sont par exemple capables de dévisser des bocaux ou de passer par des conduits très étroits. En 2016, la presse rapportait l’histoire d’Inky, un poulpe enfermé dans un aquarium en Nouvelle Zélande et qui s’était vraisemblablement échappé nuitamment alors que le couvercle de son bassin avait été laissé légèrement dévissé. Il semble qu’il ait escaladé les parois de son aquarium, soit tombé sur le sol puis se soit glissé jusqu’à un conduit d’évacuation. Il aurait fini par tomber d’une cinquantaine de mètres dans le tuyau avant de retrouver sa liberté en mer.

Ce sont des animaux extrêmement intelligents

Ils sont capables d’élaborer des pensées complexes, ils ont une mémoire à long terme, ils utilisent des outils, apprennent par l’observation, peuvent anticiper, se souvenir et ressentir la douleur, et sont même capables de s’ennuyer.

Le Scientific Panel on Animal Health and Welfare (AHAW, ou Groupe scientifique sur le bien-être et la santé des animaux) de l’Autorité européenne de sécurité des aliments a conclu que le système cérébral complexe de ces animaux leur confère des « tempéraments individuels ».

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