Excellente nouvelle : Sandro, Maje et Claudie Pierlot arrêtent la fourrure !

Posté le par Anissa P

Après avoir été contactées par PETA, les célèbres marques françaises Sandro, Maje et Claudie Pierlot – qui constituent le groupe SMCP, fort de 1 466 points de vente sur 40 pays – ont confirmé qu’aucune fourrure animale ne figurera dans leurs collections à partir de janvier 2020.

« La marque Sandro […] a arrêté de designer des modèles comportant de la fourrure animale […] sous l’impulsion de nos directions artistiques qui comme moi sont sensibles à la cause animale. » affirme par mail Isabelle Allouch, directrice générale de Sandro.

« Toutes nos fourrures sont désormais synthétiques », informe pour sa part la marque Maje sur son site web.

Claudie Pierlot a confirmé sur les réseaux sociaux la décision de l’enseigne « de stopper définitivement l’usage de la fourrure dans nos collections dès l’hiver 2020. »

Les consommateurs d’aujourd’hui ne veulent pas de vêtements obtenus au prix de la souffrance d’animaux confinés, frappés et violemment dépecés. En renonçant à la fourrure, les marques du groupe SMCP ont pris une décision juste pour les animaux, la planète et les consommateurs.

Des enquêtes diffusées par PETA ont mis au jour le calvaire subi par les renards, lapins, visons, chiens viverrins et autres animaux exploités pour leur fourrure. Il n’est donc pas surprenant qu’aujourd’hui, tout le monde, de Jean Paul Gaultier à la reine d’Angleterre, tourne le dos à cette matière sanglante.

Agissez pour les animaux

Avec la quantité de textiles innovants disponibles aujourd’hui et qui n’impliquent pas la torture d’animaux, il est simple de passer à des matières sans cruauté. Aujourd’hui, 91 % de la population française est opposé au commerce de la fourrure et nous militons activement pour une interdiction de la production de fourrure animale en France. Mais ce n’est pas seulement dans les élevages que des animaux souffrent pour leur pelage.

Les coyotes piégés pour la garniture de fourrure de Canada Goose peuvent légalement souffrir d’une jambe cassée, de lacérations ou d’hémorragies jusqu’à 72 heures avant le retour des trappeurs – et cette pratique est conforme aux normes de piégeage de l’entreprise. Les mères coyotes piégées, désespérées de retrouver leurs petits affamés, ont essayé de se ronger les pattes pour s’échapper, et de nombreux animaux piégés succombent aux éléments, aux pertes de sang, aux infections ou aux attaques d’autres prédateurs avant que les trappeurs ne reviennent pour les tuer.

Aidez en appelant la marque de vêtements d’extérieur à cesser d’utiliser la fourrure arrachée à des coyotes trappés dans la nature sur ses vestes et parkas :