Effrayés par Sous la Seine ? Attendez de voir le film d’horreur de PETA dénonçant un prédateur bien plus terrifiant qu’un requin

Le 4 juin 2024

Effrayés par Sous la Seine ? Attendez de voir le film d’horreur de PETA dénonçant un prédateur bien plus terrifiant qu’un requin

À l’occasion de la sortie ce 5 juin du film d’horreur Sous la Seine – centré autour de la présence d’un requin mangeur-d’hommes à Paris – PETA et l’agence xL. se sont associés pour publier un spot angoissant qui rappelle aux spectateurs que le pire prédateur des mers n’est pas celui qu’ils pensent.

La vidéo montre une famille dînant de batônnets de poisson, avant qu’un personnage intriguant ne fasse son apparition. L’intensité monte et la créature met la jeune fille et son père face à la réalité glaçante du massacre que subissent les poissons et autres animaux marins pour l’appétit humain. À l’écran, le message « Les poissons souffrent, ne les mangeons pas. » apparaît, appelant les spectateurs à ne pas participer à cette horreur et à consommer végan pour épargner tous les animaux.

« Racler les fonds marins avec d’énormes chalutiers, capturer des milliers de poissons et d’animaux non-ciblés comme des dauphins et des tortues dans d’immenses filets de pêche, puis découper et éviscérer des êtres sensibles pendant qu’ils s’asphyxient lentement – voilà de la véritable épouvante, » selon Mimi Bekhechi, vice-présidente de PETA pour l’Europe. « Si l’idée d’être subitement et violemment attrapé par un prédateur terrifiant pendant que vous nagez tranquillement vous effraie, épargnez ce destin horrifiant aux poissons en choisissant un mode de vie végan. »

Les poissons ressentent la douleur, partagent leurs connaissances, ont une longue mémoire et ont des traditions culturelles. Certains courtisent des partenaires potentiels en créant des œuvres d’art complexes dans le sable au fond de l’océan. Néanmoins, plus de poissons sont tués chaque année pour l’alimentation que tous les autres animaux réunis. Ils sont empalés, écrasés, étouffés ou découpés et éviscérés, souvent alors qu’ils sont entièrement conscients. De plus, 38 millions de tonnes d’autres animaux aquatiques sont capturés par erreur chaque année pour satisfaire la demande des consommateurs en « fruits de mer ».

PETA, dont la devise dit notamment que « les animaux ne nous appartiennent pas et [que] nous n’avons pas à les utiliser pour notre nourriture » s’oppose au spécisme, l’idéologie postulant une fausse supériorité de l’humain sur les autres animaux et met gratuitement son « Guide du végan en herbe » à disposition des personnes souhaitant passer à une alimentation respectueuse des animaux terrestres et marins. Pour plus d’informations, rendez-vous sur PETAFrance.com ou suivez les dernières actualités de l’association sur FacebookX ou Instagram.

Contact : 

Anissa Putois ; [email protected]

 

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