« Je suis quelqu’un et non quelque chose » proclame une nouvelle campagne de PETA Royaume-Uni affichée près du Vatican

« JE SUIS QUELQU’UN ET NON QUELQUE CHOSE » PROCLAME UNE NOUVELLE CAMPAGNE DE PETA ROYAUME-UNI AFFICHÉE PRÈS DU VATICAN

L’association demande aux consommateurs de prendre en compte l’individu qui a souffert pour leur repas, et d’adopter une alimentation végane pour le Carême

Vatican – Une affiche a fait son apparition à Rome, près de la place Saint-Pierre au Vatican, montrant le visage d’un cochon ainsi que les mots « Je suis quelqu’un et non quelque chose. En ce Carême, devenez végan ». La campagne a été lancée par PETA Royaume-Uni pour inspirer les gens à aider les animaux, à protéger l’environnement et à agir pour leur santé, en adoptant une alimentation sans produits animaux pour le Carême.

Des photos supplémentaires de l’affiche sont disponibles ici et ici.

(photographe Francesca Mazzara)

« Les cochons, les vaches, les moutons et les poules ne sont pas si différents des êtres humains en ce qui concerne leur capacité à ressentir la douleur et la peur et à donner de la valeur à leurs vies », déclare Isabelle Goetz, porte-parole de PETA France. « PETA encourage tout le monde à faire preuve de compassion envers les animaux en laissant de côté les repas carnés, en faveur de délicieux plats végans, sains et produits de manière éthique, en ce Carême. »

PETA – dont la devise dit notamment que « les animaux ne nous appartiennent pas et [que] nous n’avons pas à les utiliser pour la nourriture » – souligne que Jésus serait sûrement horrifié par les conditions atroces de l’industrialisation des secteurs de la viande, des œufs, des produits laitiers et de la pêche, dans lesquels les animaux sont régulièrement violentés et privés de tout respect et de la moindre compassion. Les poules et les dindes sont souvent égorgées quand elles sont encore conscientes, les poissons sont découpés lorsqu’ils sont encore vivants où s’étouffent lentement sur les points des bateaux de pêche, et les veaux sont arrachés à leurs mères peu après la naissance pour que le lait leur étant destiné soit consommé par des humains.

La consommation de viande et d’autres produits issus de l’exploitation animale ne fait pas que soutenir la cruauté inhérente à l’élevage d’animaux pour la nourriture ; elle a aussi été liée à un risque accru de maladies cardio-vasculaires, d’AVC, d’obésité, de diabètes et de certains types de cancers.

Pour plus d’information, rendez-vous sur PETAFrance.com.

 

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